13 janvier 2008
Le Saule pleureur
De ses
feuilles doucement
Coulent
des larmes en avalanche,
Des larmes
bleues, des larmes blanches,
Qui
rejoignent les océans.
Pleure,
mon beau saule pleureur,
Il s’en
va, mon ami fidèle,
Vers Dieu
à tire d’ailles.
Pleure,
mon beau, ton grand malheur.
Il nous
reste le souvenir
Douloureux
des ces longs baisers
Fugaces au
moment de partir.
Ils me l’ont
pris, me l’ont volé.
Un bonheur
d’été s’enfuit
Et il nous
reste que la nuit.
15-10-95
Publicité
Publicité
Commentaires